学习心得
Jude, étudiant de Mandarin Edu de Suzhou
Jude, étudiant de Mandarin Edu de Suzhou
Je m'appelle Jude, j'apprends le Mandarin à Suzhou Mandarin Sch...
Jessie, étudiante à Mandarin Edu
Jessie, étudiante à Mandarin Edu
J'ai appris le Chinois presque 8 ans, je peux comprendre ce que les Chi...
Florent, étudiant à Mandarin Edu
Florent, étudiant à Mandarin Edu
J'adore Mandarin Education School de Wuxi. C'est la manière LA PLUS FA...
Le vent en langue Brad élèves
Le vent en langue Brad élèves
Je suis en train d'étudier le Chinois à Mandarin Education School. Je peux...
Jennifer, étudiante à Mandarin Edu
Jennifer, étudiante à Mandarin Edu
J'adore apprendre le Chinois à Mandarin Education School. C'est un en...
Zack, étudiant à Mandarin Edu
Zack, étudiant à Mandarin Edu
Mandarin Education School est une place très adaptée à l'apprentissage du ...
Kevin, étudiant à Mandarin Edu
Kevin, étudiant à Mandarin Edu
Mandarin Education School est un endroit excellent pour apprendre le chin...
Mandarin E-Learning
Mandarin E-Learning
Mandarin Education School offre des cours de Chinois en ligne. Cela n'a jamais été aussi facil...
法语汉语学习
...
Ajoutez notre
Identifiant Officiel
Wechat : MandarinGroup
Pour plus d'informations

0086 1866 1199 988
Sandy.Swun
519988808
Mandarin Education School
Room 405,Building 8,Maoye
Business Centre,Changjiang
No.1,New District,Wuxi, China
Tiré d'un article du Figaro publié le 24/04/2013
Ils sont chaque jour plus nombreux à apprendre le mandarin en France. Poussés par leurs parents, qui y voient un sésame pour l’avenir, ou poussés par la curiosité, les étudiants sinophones récoltent les fruits. Car désormais pouvoir écrire «Chinois» sur un CV est un vrai plus.
En France, l’enseignement du chinois a explosé .Actuellement plus de 33.000 élèves apprennent la langue au lycée et au collège. C’est plus de 13% qu’il y a dix ans. Alors que la Chine monte en puissance, la maîtrise du mandarin devient le nouveau laissez-passer pour l’emploi, ce petit-plus qui fera la différence.
«Aujourd’hui, le chinois fait parti des langues étrangères les plus prisées sur un CV, au même titre que le russe ou l’arabe», assure Christophe, étudiant en école de commerce .«Je l’ai ressenti au cours de mes différentes expériences professionnelles. À chaque fois, on faisait appel à moi pour une traduction, pour traiter avec un client chinois ou pour répondre à une demande en lien avec la Chine», reconnaît le jeune homme, parfaitement sinophone. «C’est un pays qui a une place capitale sur la scène mondiale d’aujourd’hui et je pense que c’est une réelle valeur ajoutée de pouvoir parler chinois.»
«LE CHINOIS M’A ORIENTÉ PROFESSIONNELLEMENT»
Actuellement en master à l’École des hautes études en sciences de l’information et de la communication (CELSA), Lorraine est consultante junior sur des questions chinoises. «Je pratique la langue tous les jours», se réjouit la jeune femme de 24 ans. Pourtant lorsqu’elle choisit d’étudier le chinois au lycée comme troisième langue vivante (LV3), c’est le fruit du hasard. D’abord intriguée, elle se passionne rapidement et intègre une prépa littéraire où le chinois est enseigné. «Le niveau était bien supérieur à celui du lycée, mais au lieu de me décourager cela m’a complètement reboostée», explique-t-elle. Dès lors, elle décide de construire son parcours universitaire autour de la Chine en intégrant une licence de langue et civilisation chinoise. «Ça me plaisait toujours plus, et dans le contexte actuel où la Chine connaît un fort essor je savais que ce serait quelque chose de “vendeur” sur le CV», constate Lorraine.
«Aujourd’hui, je suis heureuse d’avoir été recrutée pour ma connaissance du chinois. D’ailleurs au CELSA, on me répète souvent que grâce à cette connaissance, mon profil est vraiment valorisé».
UN APPRENTISSAGE DE LONGUE HALEINE
En France, apprendre le mandarin dépasse largement la diaspora chinoise. Deux tendances majeures se dessinent: soit les parents encouragent leurs enfants à découvrir cette langue, soit les étudiants s’inscrivent par curiosité ou par volonté de se démarquer. Avec des parents chinois, Christophe rejoint le premier groupe. Parlant le chinois cantonnais, sa mère a tenu a l’inscrire à des cours de mandarin dès son plus jeune âge. Mais c’est au cours des années de collège et de lycée, qu’il a perfectionné sa connaissance actuelle de la langue.
Octave, lui, en est à sa sixième année d’étude. Étudiant en licence de Langues étrangères appliquées (LEA) à l’Université Paris IV ,son apprentissage a débuté en 4ème. «Mes parents m’ont poussé à opter pour le chinois comme deuxième langue vivante», révèle-t-il. Depuis, il poursuit son apprentissage à l’université, avec une excitation non dissimulée: «Malgré tant d’années, j’ai l’impression de ne pas avoir appris grand chose au collège et au lycée. À la fac, j’étudie le chinois sept heures par semaine, et nous sommes seulement trois en classe. J’ai l’impression de suivre des cours particuliers et c’est tant mieux». Car maîtriser la langue comme l’écriture reste extrêmement exigeant. Et bien souvent, la théorie a ses limites.
Si des années de chinois impressionnent sur le CV, la capacité à se débrouiller réellement varient grandement.
«L’apprentissage du chinois passe obligatoirement par un apprentissage simultané de l’écrit et de l’oral», explique Lorraine. «En général on dit que pour se débrouiller en chinois, pour comprendre les journaux, on doit connaître 2000 caractères. Aller sur place est indispensable pour parler correctement».
Et ce n’est qu’après un séjour de six mois à Shanghai ,que Christophe, franco-asiatique, peut se targuer aujourd’hui de maîtriser le chinois. «J’ai plus appris en 6 mois qu’en 7 ans de cours théoriques en France».